Aicar, produit dopant n°1 ?
Le nom officiel de l’Aicar est l’«aminoimidazolecarboxamideribonucleotide». Cette molécule est apparue brutalement dans les coulisses du monde de la performance musculaire en juillet 2008. C’était dans Cell, une publication scientifique de réputation internationale et sous cette forme. La situation est d’autant plus complexe que cette molécule est aisément disponible pour qui le souhaite.
- Il y a à peine un mois, deux coureurs étaient encore contrôlés positifs à l’EPO lors du Giro en Italie !
- Ni les chercheurs directement impliqués ni GSK ne cherchèrent à faire taire les rumeurs quant à leur efficacité.
- Concernant le dépistage de l’AICAR dans les urines, des travaux ont été entrepris depuis 2010 pour mettre en place une méthode de dépistage validée (4).
- Cette « pilule de l’exercice », considérée comme « cardio-protectrice », n’est cependant pas considérée comme un médicament, ni un complément alimentaire.
- Selon l’expérience réalisée en 2007 par le professeur Evans, des rats ayant ingurgité de l’AICAR, étaient 44% plus endurants que leurs camarades nourris au gruyère, c’est dire si cette molécule est puissante.
Son nom est l’acronyme, en plus digeste, de « 5-amino-4-imidazolecarboxamide ribonucléoside ». Elle permet d’activer et de stimuler les fibres musculaires spécifiquement liées aux efforts d’endurance et de diminuer la fatigue. En clair, une plus grande capacité à l’effort sans rien faire.
Conseil Scientifique
Les nouveau-nés présentent souvent une hypotonie globale. Un décalage global des acquisitions est habituellement identifié dès la première année de vie. Les enfants atteints progressent, mais la plupart sont incapables de parler et de marcher.
Produits dopants : quels dangers ?
Les personnes atteintes présentent des particularités morphologiques communes (nez court aux narines antéversées, sourcils épais et longs cils). D’autres éléments pourraient être associés au syndrome, notamment une cytolyse hépatique chronique avec exacerbations récurrentes et hépatomégalie, une coarctation de l’aorte chez le nouveau-né, et une néphrocalcinose. A ce jour, seules 4 personnes issues de 3 familles différentes ont été rapportées dans le monde. Seules les contributions pour améliorer la qualité des informations du site sont attendues.
Le sulfureux médecin sportif colombien Alberto Beltran, avait par exemple été interpellé l’an passé avec de l’Aicar dans ses valises.Les progrès de la médecine ont du bon, mais il existe là aussi un revers de la médaille. Que ce soit dans le vélo, le football, le tennis, la natation, l’athlétisme, https://www.opelselection.fr/tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-les-hormones-de-croissance/ ou dans d’autres sports, la tentation de tricher par le biais de produits illicites a toujours été présente. Et malgré les campagnes de prévention et la lutte contre le dopage, les affaires éclatent encore en 2013, n’en déplaisent aux athlètes Tyson Gay ou Asafa Powell.